Evariste Richer

né en 1969 à Montpellier, France
vit et travaille à Paris, France


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Evariste Richer, L’herbe, 2019
plâtre, sélénite

production : La Criée centre d’art contemporain, Rennes

courtesy de l’artiste et de Meessen De Clercq, Bruxelles

photo : Benoît Mauras

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Evariste Richer, L’herbe, 2019
plâtre, sélénite

production : La Criée centre d’art contemporain, Rennes

courtesy de l’artiste et de Meessen De Clercq, Bruxelles

photo : Benoît Mauras

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Evariste Richer, L’herbe, 2019
plâtre, sélénite

production : La Criée centre d’art contemporain, Rennes

courtesy de l’artiste et de Meessen De Clercq, Bruxelles

photo : Benoît Mauras

L'herbe, 2019

plâtre, sélénite, 29 x 12 x 10 cm

L’herbe désigne la sélénite (gypse) verte déposée au creux d’une main moulée en plâtre. L’œuvre propose un dialogue entre ce qui est disponible (une production de la nature) et ce qui fabrique l’art (l’outil premier du sculpteur). Elle fait partie d’une série où Evariste Richer moule à chaque fois différemment une main, à la taille des pierres qu’il collectionne, et dans laquelle se dépose la poussière de son atelier.


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Evariste Richer, En attendant la foudre #2, 2019
tortue fossile, barre de cuivre, 34 x 29 x 315 cm

production : La Criée centre d’art contemporain, Rennes
courtesy de l’artiste et de Meessen De Clercq, Bruxelles
photo : Benoît Mauras

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vue de l’exposition Personne, pas même la pluie, n’a de si petites mains, La Criée centre d’art contemporain, Rennes, 2019

photo : Benoît Mauras

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Evariste Richer, En attendant la foudre #2, 2019
tortue fossile, barre de cuivre, 34 x 29 x 315 cm

production : La Criée centre d’art contemporain, Rennes
courtesy de l’artiste et de Meessen De Clercq, Bruxelles
photo : Benoît Mauras

En attendant la foudre #2, 2019

tortue fossile, barre de cuivre, 34 x 29 x 315 cm

En attendant la foudre #2 montre l’intérêt de l’artiste pour l’origine de la matière et le dialogue entre nature et culture. L’œuvre se compose d’un fossile de tortue sur lequel est posée en équilibre une barre de cuivre. La carapace de la tortue a été retrouvée intacte, transformée en pierre au terme d’un processus de plus de 25 millions d’années. Si la foudre venait à tomber sur la barre de cuivre, elle détruirait en un fragmentent de secondes cette trouvaille géologique. Un jeu d’équilibre fragile s’opère, entre ciel et terre, entre hier et aujourd’hui, faisant naître une sorte de vertige et de compression de l’espace-temps.


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Exposition collective

Personne, pas même la pluie, n’a de si petites mains

du 6 avril au 26 mai 2019